sal fin amor, suite
et voici la partie suivante, reste deux de ce joli modèle de Corinne Leroyet bien, non, je ne suis pas restée sans rien faire, mais je me sens tellement en stand-by, que je n'arrive pas à vous communiquer la façon dont je réagis, dont j'envisage les prochains mois.
Non, ce n'est pas une grossesse, lol, mais à 48 ans, c'est un fameux pas de recommencer un nouvel univers.
Et en même temps, j'ai besoin d'évasion, de vacances, de changement d'air, tout simplement pour bien rentrer dans un nouvel espace de travail: vraiment couper avec le milieu carcéral. Oui, j'ai oublié de vous dire, le directeur a d'énooooormes difficultés à accepter que je m'en aille, il veut que ce soit plus tard, il veut avoir son mot à dire; Et bien, non, cher monsieur, vous n'avez plus rien à me dire!!!!
oufffff
Savez-vous ce que je fais, tous les jours? Je feuillette le livre des 100 enfants de Françoise Merchandier. Comme pour savourer une cour de récré avant la rentrée des classes, vide, mais pas sans vie. Comme si moi, aussi, j'allais entrer dans une cour de récré différente. Commencer un nouveau sal de 2 ans, en même temps qu'un nouveau métier, c'est bien , non?
